Le test de paternité prénatal – Les différentes options
Il existe deux procédures de test de paternité prénatal invasif mais une nouvelle méthode de test de paternité prénatal non invasif est désormais également disponible.
Le test ADN prénatal consiste à analyser l’ADN d’un bébé avant sa naissance. Le but d’une telle analyse est en général ou bien le dépistage de maladies héréditaires ou bien l’identification du père biologique du bébé. En ce qui concerne les maladies, l’analyse ADN est en mesure d’établir la probabilité d’une maladie génétique telle que le syndrome Down ou le syndrome Turner chez le bébé.
Dans le cas d’un doute concernant l’identité du père biologique du bébé, la comparaison du profil ADN du bébé avec celui du père présumé et de la mère permet de confirmer ou d’infirmer l’existence d’un lien biologique entre le père présumé et le bébé. Tout cela est possible grâce à l’information génétique contenue dans l’ADN et à la technologie et compétence avancées dans le domaine de la génétique.
Il s’agit donc d’obtenir l’échantillon d’ADN du bébé qui est encore dans le ventre de sa maman. Une procédure invasive veut dire qu’une intervention médicale est nécessaire pour prélever cet échantillon directement du bébé. Les deux procédures couramment utilisées pour obtenir l’échantillon s’appellent l’amniocentèse et le prélèvement des villosités choriales (PVC).
L’amniocentèse
Cette procédure, effectuée par un gynécologue-obstétricien, consiste à introduire une aiguille dans l’utérus à travers l’abdomen. Pour être sûr de ne pas nuire au bébé, l’aiguille est guidée par ultrasons. Une vingtaine de millilitres de liquide amniotique sont prélevés de cette manière. Le liquide amniotique est la substance qui entoure le bébé dans le sac amniotique, et qui contient aussi l’ADN du bébé.
Cette procédure peut être réalisé à partir de la 15e jusqu’au 20e semaine de la grossesse. Elle comporte néanmoins quelques risques, dont les plus importants sont :
– La perte de liquide amniotique (qui peut devenir un danger pour le bébé si le niveau du liquide baisse trop dans le sac amniotique)
– Des lésions aux membres du bébé
– Fausse couche
Bien que de telles conséquences graves soient rares, les risques existent et sont à prendre en compte.
Le prélèvement de villosités choriales (PVC)
C’est l’autre procédure de test de paternité prénatal invasif. Son but est d’obtenir un échantillon de villosités choriales, qui sont des petites saillies sur la surface du placenta. Les villosités choriales contiennent également l’ADN fœtal nécessaire pour l’analyse ADN. Leur prélèvement est possible par voie transcervicale – c’est-à-dire, en passant par le vagin et le col de l’utérus à l’aide d’un cathéter – ou bien par voie abdominale – à l’aide d’une aiguille, comme dans le cas de l’amniocentèse.
A la différence de l’amniocentèse, le PVC est possible dès la 12e semaine de la grossesse. Il comporte néanmoins des risques similaires à ceux de l’amniocentèse, notamment celui de la perte de liquide amniotique et la fausse couche.
Le test de paternité prénatal non invasif
Heureusement, il n’est plus du tout nécessaire de prendre tous ces risques, ni de payer pour ces procédures pénibles. Il est désormais possible de réaliser un test de paternité prénatal non invasif, sans aucun risque, et faisable dès la 9e semaine de la grossesse !
Le test de paternité prénatal non invasif se fait à partir d’un simple échantillon de sang. Il ne nécessite donc pas l’intervention d’un médecin spécialiste, un simple prélèvement sanguin suffit. Le sang maternel contient l’ADN fœtal et la technologie hypermoderne de certains laboratoires permet désormais d’extraire cet ADN et de l’analyser avec une efficacité et une précision extrêmes.
Le test de paternité prénatal non invasif offre donc des résultats tout aussi précis et fiables que les tests invasifs, mais sans les risques impliqués dans ceux-ci.
easyDNA offre le test de paternité prénatal non invasif, extrêmement précis et 100% sans risque. Test réalisé dans un laboratoire largement expérimenté.